LE COUT DE L'EMIGRATION
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LE COUT DE L'EMIGRATION
Ces Français qui quittent la France
233 000 Français quittent la France chaque année
Définitivement ou pour une longue période.
Contre 168 000 seulement qui y reviennent.
Le solde migratoire annuel de la France est négatif, à hauteur de 65 000 personnes.
Au total, ce sont 2,4 millions de Français qui vivent à l’étranger (3 % de la population).
Et la forte propension à s’expatrier ne cesse d’évoluer (+ 4 % par an depuis 12 ans).
8 milliards d’euros par an, c’est le coût total de l'émigration
11,1 milliards d’euros* de coûts, contre 3,2 milliards d’euros de recettes générées par les retours.
Chaque année, les contribuables financent directement l’émigration à hauteur de
9, 265 millions d’euros :
- 4,9 milliards sont affectés à la perte de capital humain (coût de « formation des cerveaux » en fuite),
- 4 milliards sont affectés au manque à gagner fiscal et social (dont 1,279 milliard d'euros pour l’ISF),
- 0,365 million pour financer les structures d’aide aux Français à l’étranger.
A cela s’ajoute une perte de PIB générée par les départs : 1,860 milliards d’euros en moins de richesse nationale.
233 milliards d’euros, c’est le manque à gagner généré par les expatriés
Si par un coup de baguette magique tous nos expatriés revenaient, 233 milliards d’euros renfloueraient immédiatement les caisses de l’État. Une manne providentielle en période de crise !
L’émigration fiscale : une raison de départ non négligeable
Au-delà de l’émigration familiale, de compétence -fuite des cerveaux-, entrepreneuriale, ou étudiante, l’émigration fiscale est non négligeable. Parmi les impôts, l’ISF est le principal accusé : le nombre d’émigrés pour cause d’ISF a plus que doublé depuis 1996, date à laquelle le gouvernement Juppé a supprimé le mécanisme de plafonnement.
« Les pesanteurs françaises », qu’elles soient administratives, sociales (grèves, climat) ou fiscales figurent parallèlement parmi les raisons de ne jamais vouloir rentrer en France (29 % d’expatriés sondés).
Comment réduire le coût de l’émigration ?
Et si nous commencions par réformer la taxation du patrimoine ?
Et si nous encouragions les Français à entreprendre ? (réforme de l’ISF, incitation à la création de PME).
[i]Je les comprends
233 000 Français quittent la France chaque année
Définitivement ou pour une longue période.
Contre 168 000 seulement qui y reviennent.
Le solde migratoire annuel de la France est négatif, à hauteur de 65 000 personnes.
Au total, ce sont 2,4 millions de Français qui vivent à l’étranger (3 % de la population).
Et la forte propension à s’expatrier ne cesse d’évoluer (+ 4 % par an depuis 12 ans).
8 milliards d’euros par an, c’est le coût total de l'émigration
11,1 milliards d’euros* de coûts, contre 3,2 milliards d’euros de recettes générées par les retours.
Chaque année, les contribuables financent directement l’émigration à hauteur de
9, 265 millions d’euros :
- 4,9 milliards sont affectés à la perte de capital humain (coût de « formation des cerveaux » en fuite),
- 4 milliards sont affectés au manque à gagner fiscal et social (dont 1,279 milliard d'euros pour l’ISF),
- 0,365 million pour financer les structures d’aide aux Français à l’étranger.
A cela s’ajoute une perte de PIB générée par les départs : 1,860 milliards d’euros en moins de richesse nationale.
233 milliards d’euros, c’est le manque à gagner généré par les expatriés
Si par un coup de baguette magique tous nos expatriés revenaient, 233 milliards d’euros renfloueraient immédiatement les caisses de l’État. Une manne providentielle en période de crise !
L’émigration fiscale : une raison de départ non négligeable
Au-delà de l’émigration familiale, de compétence -fuite des cerveaux-, entrepreneuriale, ou étudiante, l’émigration fiscale est non négligeable. Parmi les impôts, l’ISF est le principal accusé : le nombre d’émigrés pour cause d’ISF a plus que doublé depuis 1996, date à laquelle le gouvernement Juppé a supprimé le mécanisme de plafonnement.
« Les pesanteurs françaises », qu’elles soient administratives, sociales (grèves, climat) ou fiscales figurent parallèlement parmi les raisons de ne jamais vouloir rentrer en France (29 % d’expatriés sondés).
Comment réduire le coût de l’émigration ?
Et si nous commencions par réformer la taxation du patrimoine ?
Et si nous encouragions les Français à entreprendre ? (réforme de l’ISF, incitation à la création de PME).
[i]Je les comprends
Bastiancontrari- Messages : 23
Date d'inscription : 31/03/2009
Localisation : ici et ailleurs
Re: LE COUT DE L'EMIGRATION
Et si nous encouragions les Français à entreprendre ? (réforme de l’ISF, incitation à la création de PME).
Je me demande qui aurait envie de devenir patron actuellement en France à moins de travailler seul, mais travailler seul c'est 'Adieu les 35h et ça... ;o) Les français sont plus à la recherche d'une 'qualité de vie'... Désolée, mais c'est pas compatible
Quand je pense à nos parents, grands parents, ça me fait sourire... tristement
Je me demande qui aurait envie de devenir patron actuellement en France à moins de travailler seul, mais travailler seul c'est 'Adieu les 35h et ça... ;o) Les français sont plus à la recherche d'une 'qualité de vie'... Désolée, mais c'est pas compatible
Quand je pense à nos parents, grands parents, ça me fait sourire... tristement
Diamant- Messages : 11
Date d'inscription : 31/03/2009
Re: LE COUT DE L'EMIGRATION
Je comprend plus rien.pourquoi j arrive a lire tous ceux que j ai plonke maintenant?
franny slamour- Messages : 6
Date d'inscription : 03/04/2009
Re: LE COUT DE L'EMIGRATION
T'es sûre que t'es pas en enfer ? Humm ça ne m'étonnerait pas...
Diamant- Messages : 11
Date d'inscription : 31/03/2009
Re: LE COUT DE L'EMIGRATION
Diamant a écrit:T'es sûre que t'es pas en enfer ? Humm ça ne m'étonnerait pas...
toi je te replonke, je sais pas pourquoi je t ai sortie de mes oubliettes d abord.
pas la peine de me repondre, je ne peux plus te lire!
franny slamour- Messages : 6
Date d'inscription : 03/04/2009
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